Mme Morel, je ne suis pas certain d'avoir exactement compris tous vos propos, j'espère que vous me le pardonnerez. Quand je vous entends parler de la nécessité d'un meilleur contrôle du juge ou de l'intervention du politique, quand je vous entends mettre en cause l'autonomie du juge liée à la jurisprudence ou quand je vous entends contester le rôle de la Cour de cassation – dont le rôle est d'unifier en droit et pas en fait –, cela me laisse penser à une belle définition d'un État totalitaire.
Quels sont vos financements ?