Il y a longtemps, j'ai travaillé en PQR, en Polynésie française, sous Gaston Flosse, pour un journal qui s'appelait les Nouvelles de Tahiti et qui faisait partie du groupe Hersant. Nous subissions des pressions quotidiennes de la part de Gaston Flosse, de ses amis ou de sa famille. Nous étions menacés, notamment de suppression des budgets publicitaires et exclus de tous les rassemblements. Ils ont fini par « avoir la peau » de ce journal qui a disparu il y a cinq ans.
Il peut aussi y avoir des pressions dans la presse spécialisée. C'est différent, mais elles existent.