Nous avons déjà débattu de ces amendements en de précédentes occasions ; certains, d'ailleurs, ont été redéposés tels quels, puisqu'ils font encore référence à la date du 1er janvier 2018 et ne tiennent pas compte du report d'un an de la réforme.
J'émets, sur tous, un avis défavorable. Il ne faut pas effrayer nos concitoyens, en particulier les jeunes : une étude d'évaluation montre qu'en 2015, sur 500 000 primo-déclarants, la plupart étaient non imposables compte tenu de leurs revenus.