Didier Guérin, membre du Conseil supérieur de la magistrature, président suppléant de la formation compétente pour les magistrats du siège :
La difficulté n'existerait plus si le statut du parquet évoluait, puisqu'il n'y aurait pas de proposition directe de l'exécutif pour la nomination des magistrats du parquet. Mais, à mon sens, il s'agit d'une question d'apparence plus que de fond.