. Cela repose sur un dialogue permanent avec les procureurs de la République, puisqu'il y a quatre procureurs territoriaux entre Paris et les trois départements de l'agglomération, et avec les juges d'instruction. Cela nécessite la mise en perspective de nos difficultés. Dès lors que certains sujets ou certaines enquêtes deviennent prioritaires, nous devons l'exprimer clairement auprès des magistrats. Nos collègues de la DSPAP sont confrontés à la même situation par le biais de l'apurement des portefeuilles. De manière contradictoire avec les responsables des parquets, nous faisons une visite du portefeuille pour regarder quels sont les dossiers prioritaires.