Ce vers quoi l'on tend – et cela répond justement à la question sur les CEF –, c'est de pouvoir donner au juge une plénitude de possibilités quand il va rendre sa décision. Les constructions de SAS, les structures d'accompagnement vers la sortie, de CEF, de places de prison supplémentaires, de quartiers de semi-liberté font également défaut. C'est le rôle de l'administration pénitentiaire que de dire où il est nécessaire de créer des places qui correspondent aux besoins des magistrats, afin qu'ils puissent prendre des décisions pouvant être mises en œuvre.
De création récente, l'Agence du travail d'intérêt général et de l'insertion professionnelle mène un gros travail sur cette alternative très intéressante que sont les places de travail d'intérêt général.