Les choses ont évolué depuis l'année dernière : nous y avons travaillé tout l'été, et le ministre a commencé à annoncer les modalités d'instauration d'un droit à l'erreur. L'administration se placera désormais dans un rôle de conseil, et lorsque la bonne foi des contribuables sera reconnue, il n'y aura pas de sanction.