Je ne dialoguais pas tous les matins avec le ministre de l'intérieur, je ne connaissais donc pas son niveau d'information. Je ne pense pas avoir été moins bien informée, mais quoi qu'il en soit, je n'avais pas la même nécessité d'information. Je n'étais pas en charge de la gestion de l'ordre public. Les services de renseignement donnaient au ministre de l'intérieur des informations précises de manière rapide.