Oui, mais il nous a aussi dit qu'il ne s'était pas proposé de lui-même à ce poste. Que cette nomination était de votre responsabilité.
Je puis vous citer l'exemple de M. Hayat, alors président du tribunal de grande instance de Paris, qui prenait toutes les précautions et les garanties lorsqu'il désignait un juge d'instruction, ne serait-ce que pour les apparences. Il a déjà écarté un magistrat au seul motif que son père tenait un blog. Il allait très loin pour éviter toute polémique. Il me semble que nous pourrions tirer des leçons de cette façon de faire.