En Italie, je ne pensais pas qu'il y avait des aides en Europe pour les mineurs. J'ai choisi la France parce que je parlais français. En France, dans la rue, j'ai demandé des aides aux noirs que j'ai rencontrés. Ils m'ont dit que je devais être protégé par ce que j'étais mineur et ils m'ont orienté vers des associations.
Concernant l'accueil, pour moi, cela n'a pas été trop difficile parce qu'après ma première demande, ils m'ont directement accepté et transféré à Caen.