Marielle de Sarnez a passé beaucoup de temps à évoquer l'internationalisation du débat sur les migrations. Je suis interpellée par cette vision, comme Stella Dupont. J'essaie de pousser au bout votre réflexion. De nombreuses personnes autour de cette table pensent qu'il faut tenir la porte, quelle que soit la personne qui se présente pour demander l'asile. Nous sommes des représentants du peuple, chacun joue son rôle. La vision « Les Français d'abord, les immigrés ensuite » me chagrine.