Merci, madame la Défenseure des droits, d'avoir dressé un constat sans fard, d'ailleurs tout à fait alarmant, et d'avoir souligné en conclusion la nécessité de travailler de concert – nous en avons également été convaincus par notre déplacement à Calais.
Je donne la parole à M. Jean-François Delfraissy et à M. Pierre-Henri Duée, en les invitant notamment à apporter quelques précisions sur le CCNE en tant que tel.