Les réponses politiques suivent souvent le baromètre de la société et on a noté, ces derniers temps, une tendance au durcissement politique face aux migrations, perçues comme une menace.
Vous nous avez pourtant indiqué, madame Devise, que les personnes exilées sont en réalité mieux perçues par la population qu'on ne pourrait le penser, d'après les enquêtes que vous avez réalisées. Que retirez-vous de positif de cela ? Et, surtout, sur quoi pourrait-on selon vous s'appuyer pour changer ces préjugés et modifier notre politique migratoire ?