Au-delà des aspects administratifs et linguistiques, nous devons peut-être réfléchir à l'intensité d'accompagnement dont ont besoin les personnes qui arrivent en France pour éviter qu'elles ne soient « lâchées » et pour faire en sorte qu'elles soient sécurisées financièrement et du point de vue du logement. Des choix différents ont pu être faits dans d'autres pays européens. Certains rendent obligatoire un parcours intensif, celui-ci étant rémunéré mais comportant des engagements pour les personnes (ce qui permet d'éviter des ruptures de parcours d'intégration).