Si nous admettons sans peine le caractère obligatoire et prioritaire de la formation en langue dans le cadre du CIR, nous regrettons que les délais d'attente entraînent à l'occasion des ruptures de parcours. Il me semblerait intéressant de permettre aux migrants, avant de se lancer dans les apprentissages prévus par le CIR, de mener à bien leurs formations financées par l'État, les collectivités ou le programme 104 consacré à l'intégration des étrangers et des réfugiés.