Vous dénoncez le retrait des départements pour ce qui est de l'identification des besoins en formation. Comment expliquez-vous leur désinvestissement, alors même que l'insertion professionnelle, y compris des réfugiés et des demandeurs d'asile, relève de leurs compétences ? Ne pourraient-ils pas assurer le lien entre l'OFII et les organismes de formation implantés sur les territoires ?
M. Adami nous a informés que l'évaluation orale du niveau de français des migrants ne durait pas plus de dix minutes. Comment vivez-vous ces tests de positionnement si brefs ?