Je souscris entièrement à la dernière question. Ce n'est pas parce que l'on augmente les droits de scolarité que l'on va garantir une meilleure prise en charge des générations futures. Si une année d'études avait coûté 10 000 euros à mon époque, je ne serais pas à la place que j'occupe aujourd'hui. Quel monde voulons-nous demain ? Beaucoup de députés membres de cette commission d'enquête souhaitent un monde plus équitable, où le CNOUS, Campus France et tous les services publics sont pour les étudiants une vraie béquille qui leur permet de sortir de la pauvreté.