S'agissant de la répartition des réfugiés sur le territoire, éviter Paris vous semble capital. Nous nous sommes récemment rendus à Briançon dans un centre d'hébergement recevant essentiellement des Afghans arrivés avant la vague actuelle. Lors de la réunion qui a suivi en Préfecture de Gap, il est apparu que les demandes d'asile doivent être réalisées à Marseille. Les réfugiés souhaitent donc s'installer au plus près des centres administratifs, soit à Marseille ou à Paris.
Nous comprenons parfaitement la problématique de tension sur le logement, mais les voies d'entrée administratives orientent systématiquement les réfugiés vers les grandes villes. Comment gérez-vous cette situation ?