En région parisienne, la tension est évidente pour les français. Pourquoi ne le serait-elle pas pour des réfugiés ? Lorsque nous nous sommes rendus à Briançon puis à Nice, nous avons échangé avec des réfugiés. Ils disaient ne pas savoir où déposer leur demande d'asile. Par conséquent, ils se rendent à Paris, destination connue à l'étranger. Une démarche insuffisamment proactive aux points d'entrée sur le territoire a pour conséquence une concentration des réfugiés là où la tension immobilière est la plus forte. Nous aimerions donc trouver des solutions pour sortir de cette mécanique.