Merci. Il est très important d'exploiter votre vision interministérielle, grâce à votre expérience au sein de différentes administrations.
Nous aimerions soutenir le développement de la médiation culturelle. L'une de nos recommandations ira dans ce sens afin d'accompagner les personnes dès leur arrivée. Il s'agira notamment de leur permettre de bénéficier de cours de français accélérés. Nous souhaitons aller plus loin que le rapport de M. Taché. Après l'audition d'organismes de formation, nous disposons d'un retour d'expérience sur les mesures à conserver ou non. D'autres s'appuieront sur les compétences des réfugiés.
Le directeur de la DIHAL expliquait que les réfugiés peinent à comprendre que tout ne passe pas à Paris. Qu'est-il fait pour expliquer à un réfugié qu'il n'est pas obligé de se rendre à Paris ? Lui est-il expliqué qu'il pourrait avoir une vie plutôt meilleure ailleurs ? Quelles recommandations formuleriez-vous ?
Vous avez insisté sur un fonctionnement en mode projet, ce qui nous satisfait. Il implique des résultats, un comité de pilotage, un fonctionnement horizontal plus efficace et des retours d'expérience. Quels échecs et quelles réussites en avez-vous tirés ? Quels indicateurs utilisez-vous pour mesurer la réussite de l'intégration ?