Ma première question porte sur la clé de contrôle de tête, que vous et la rapporteure avez appelé « clé d'étranglement ». J'ai demandé au personnel du commissariat de Fréjus de pratiquer une arrestation sur ma personne, afin de comprendre à quoi cela correspondait. J'ai bien compris que cette clé permettait de protéger l'individu interpellé de certains mouvements potentiellement fatals pour ses vertèbres.
Comme vous l'avez souligné, cela ne fait pas partie de vos instructions. Je souhaiterais que cela soit bien précisé, de manière à bien voir que l'appellation « clé d'étranglement » ou « méthode ou technique d'étranglement » appartient à un vocabulaire qui ne correspond pas au réel.
Dans nos déplacements, peut-être pourrions-nous tester cette méthode, monsieur le président ?