Je ne peux pas indiquer à l'avance quelles seront les décisions que prendra le ministre de l'Intérieur. Je me contenterai ici de rappeler que M. Castaner n'a pas pris seul l'initiative d'interdire la technique de l'étranglement. C'est moi qui le lui ai proposé, dans le souci de protéger les femmes et les hommes dont j'ai la responsabilité.