Le phénomène de dégradation est sans doute plus sociétal qu'autre chose. J'observe toutefois combien les réseaux sociaux rendent les choses plus compliquées. Il est devenu très facile d'avoir la voix qui porte, que l'on ait ou non quelque chose à dire. Ce que je pouvais lire sur Twitter pendant la crise sanitaire était affolant et ne cessait d'empirer. C'est un avis personnel, mais je pense que les gens ont de plus en plus envie de se voir et de se mettre en scène. Les télés 24 heures sur 24 et les réseaux sociaux donnent un écho à quasiment tout le monde, et nous en souffrons tous.