Vous indiquez avoir pris 25 millions d'euros d'avoirs criminels, ce qui doit représenter 3 % du chiffre d'affaires total de l'activité d'orpaillage illégal. Ce dernier est en effet estimé à environ 750 millions d'euros par la Fédération des opérateurs miniers de Guyane. Les orpailleurs doivent effectivement abandonner certaines zones qu'ils ne considèrent plus comme rentables, mais doivent conserver leur motivation faute d'être frappés de manière très intense.
Par ailleurs, avez-vous mesuré l'impact environnemental de Harpie ?