Je songeais que, si l'accord de coopération policière entre nos deux pays, signé en 2006, avait été ratifié avant 2017, les polices française et surinamienne auraient pu se coordonner plus rapidement pour assurer un meilleur contrôle du fleuve Maroni et, ainsi, mieux lutter contre les trafics qui y ont cours et assurent entre autres le ravitaillement des sites clandestins d'orpaillage du côté guyanais.