S'agissant de la transparence, la population n'est plus vraiment informée de l'état actuel de l'orpaillage illégal. François Hollande s'était pourtant engagé, en 2013, à fournir des informations régulières sur le sujet. Or, le dernier rapport date de juillet 2018. Le Parc amazonien communique régulièrement sur sa situation, mais en dehors du territoire du Parc, nous manquons de visibilité.