S'agissant des impacts liés aux activités d'orpaillage, nous souhaitions rappeler le cas de M. Abango Adam, récemment cité par Guyaweb, pour occupation illégale ayant entraîné la destruction de bois ou de forêt de 2014 à 2019. M. Adam avait fait l'objet de nombreux rappels à l'ordre sur la manière d'exploiter l'or alluvionnaire, sur l'impact environnemental (déchets abandonnés) et sur la manière dont ses ouvriers sont traités. M. Adam a également été rappelé à l'ordre sur ses obligations fiscales et sociales.
Le syndicat des miniers guyanais avait rédigé en 2005 une charte de bonne conduite, non contraignante. Il s'avère qu'elle n'est souvent pas respectée.