Je serais embarrassé de vous répondre. Nous n'avons pas investigué ces sujets. D'après ce que nous avons pu entendre, agir sur le plan diplomatique s'avère indispensable, puisque les chaînes logistiques traversent les deux fleuves frontaliers.
L'accord conclu voici quelques mois avec le Suriname, délimitant notamment la frontière sur le Maroni, laisse espérer une meilleure coopération, mais nous n'avons pas d'éclairage particulier à vous apporter sur ce point.