Dans mon poste précédent d'ingénieure dans un institut universitaire public, j'ai conçu et mis en œuvre, en collaboration avec l'administration pénitentiaire, plusieurs programmes de médiation scientifique à destination de personnes détenues dans trois établissements pénitentiaires franciliens.
Le programme le plus significatif au regard de la question qui nous intéresse a été conduit pendant un an et demi dans un QPR, où j'ai piloté et coordonné les interventions de quinze chercheurs spécialistes de l'islam au sens large, c'est-à-dire l'islam entendu en tant que religion, mais également en tant que civilisation, territoire et société du monde musulman.