Il est effectivement difficile de demander à l'administration pénitentiaire, qui récupère en ses murs le fruit de l'échec de la société, de parvenir à une réussite parfaite et à un taux nul de récidive. Pourriez-vous nous dresser un panorama des observations des stratégies étrangères en la matière ?
Vous avez par ailleurs évoqué l'existence de préjugés infondés. Pourriez-vous les détailler ?
Comment bâtir des passerelles entre l'intérieur et l'extérieur, entre les différentes cultures, milieu associatif, ministère de l'intérieur et ministère de la justice ? En outre, afin d'éviter de repartir de zéro à chaque nouvel appel d'offres, le choix d'un prestataire extérieur privé associatif est-il le bon ? Ne vaudrait-il pas mieux institutionnaliser le dispositif ?