J'ai insisté sur la diminution du personnel soignant et pénitentiaire. Les conseillers d'insertion et de probation ont par exemple plus de cent dossiers à traiter. Certains détenus entrent et sortent de prison sans avoir pu le consulter.
La question du soin est centrale et ne laisse pas assez de place à la prévention et la promotion de la santé, qui en est pourtant une dimension à part entière.