À Bordeaux, les maisons d'arrêt travaillent sur les sujets de prévention du suicide avec la mise en place de référents suicide qui partagent la cellule des détenus à risque. Nos directeurs d'établissement sont mobilisés sur ce sujet. Il faudrait disposer d'une cellule par personne pour laisser le choix au détenu d'une cellule individuelle ou double. Il ne peut s'agir d'un argument dans les discussions sur la surpopulation. Il faut aussi garder à l'esprit que les maisons d'arrêt sont toujours en rénovation, les cellules ne sont pas toutes disponibles à la fois.