Françoise Bilancini, directrice du renseignement de la préfecture de police de Paris :
Oui. Le point sur lequel ils ne sont pas d'accord, c'est l'histoire de Charlie Hebdo. Est-ce clair ? Ce sont des propos qu'on m'a rapportés : je n'étais pas là, en 2015. Néanmoins, je comprends qu'il y a eu un certain émoi au sein de la section.