Non, c'est moi qui les mobilise s'agissant des fonctionnaires placés sous mon autorité. En ce qui concerne par exemple les enquêtes d'habilitation, je dispose effectivement du pouvoir de les diligenter – cela m'a été accordé, à l'issue d'une réunion interministérielle, au moyen d'un protocole – dans le ressort de la préfecture de police.
Nous avons été formés, dans cette perspective, par la DGSI : nous sommes par conséquent, depuis 2017, au carré sur ces enquêtes.