Je ne sais pas quel était l'état des connaissances en 2015, car rien ne figure dans le dossier.
Cependant, comme je l'ai indiqué, si j'avais disposé d'un élément supplémentaire de nature alarmante concernant l'individu en question, il m'aurait peut-être permis de libérer la parole et de conduire les fonctionnaires concernés à me confier sur le moment ce qu'ils m'ont dit après. J'aurais alors, oui, procédé à un rétro-criblage.
Qu'entend-on par rétro-criblage : porte-t-il sur l'enquête d'habilitation ou sur la procédure de recrutement ? Si j'avais été en possession d'un tel élément, je n'aurais en effet procédé qu'à un rétro-criblage de l'habilitation.