À ma connaissance, non. Je ne sais pas si c'est le cas aujourd'hui.
Même si cette approche est contestée, je le sens bien, il revient à mon sens au niveau hiérarchique le plus proche de traiter ce genre de cas, dans le cadre d'une démarche de bon sens.
Le drame du 3 octobre montre qu'il y a eu une faille. Mais cela me paraît tout de même la meilleure solution. Pour que cela se fasse avec le maximum de garanties, un effort supplémentaire de formation est nécessaire à tous les niveaux hiérarchiques, du plus modeste au plus élevé.
En ce qui concerne les questions médicales, il existe un service de médecine de travail au sein de la préfecture de police, assez développé d'ailleurs. Le médecin-chef de la préfecture de police peut examiner des personnels afin d'identifier le type de pathologie dont souffrait l'intéressé, à la demande d'un responsable hiérarchique. Nous ne sommes pas démunis pour traiter ce genre de cas.