Il est venu seul dans mon bureau peut-être une ou deux fois, en passant derrière mon dos pour accéder à l'unité informatique. S'il avait voulu passer à l'acte entre 2015 et 2017, c'eût été très facile pour lui, sans même que je détecte quoi que ce soit. Il aurait même pu poursuivre ses exactions en passant par mon secrétariat, car personne n'était armé.