J'ai indiqué d'entrée qu'il convenait de distinguer l'adhésion à des thèses radicales et le passage à l'acte violent, où l'on parle de radicalisation active. Tout le monde s'accorde à considérer, et pas seulement après le drame, que cet individu, qui a été successivement licencié de deux mosquées, ce qui n'est tout de même pas fréquent, ne convenait pas. Sur le plan du droit, les éléments dont nous disposions n'ont pas suffi pour l'empêcher de nuire.