Quant à l'hyperkératose communément dénommée tabaâ, c'est effectivement une marque de piété. Elle attire évidemment l'attention dans un service de renseignement. Un de mes fonctionnaires, dans un de mes services précédents, dont je me méfiais au début, en était également porteur ; mais en fait, il était infiltré dans des milieux radicalisés et nous ramenait énormément d'informations. Je l'ai défendu en expliquant que cela lui facilitait la tâche et qu'il a fait montre d'une loyauté à toute épreuve. Mais cela montre bien que son cas a été examiné.