Je répondrai globalement à M. Habib et à M. Pupponi. Il est vrai que, quand on étudie l'affaire après coup, on identifie assez facilement ce qu'il aurait fallu faire pour éviter le malheur et ce qui a été mal fait. Comme vous le savez, la critique est aisée, mais l'art est difficile. L'affaire en question sera examinée lors du retour d'expérience qui est prévu le 14 janvier prochain. Le plus difficile est d'établir des liens, de prévoir une gradation – conversion à l'islam, passage à un islam rigoriste puis au terrorisme.