Je ne sais pas non plus de quel type de surveillance l'imam de Gonesse faisait l'objet. S'agissait-il d'une surveillance visuelle ? Écoutait-on ses prêches ? Y avait-il une surveillance technique ? Je n'en sais rien.
Sortons de ce cas précis et imaginons une situation semblable, c'est-à-dire un responsable religieux connu pour son caractère radical et faisant l'objet d'une surveillance technique. Encore faut-il que les numéros qu'il appelle ou dont il reçoit des appels soient identifiés dans une autre base, faute de quoi on n'a pas de moyens de faire le croisement. Visiblement, c'est ce qui s'est produit.