Monsieur le préfet, ma question s'inscrit dans le prolongement de celles du président.
Pierre de Bousquet, le coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, semble avoir une appréciation de la situation un peu différente de la vôtre en jugeant que les contrôles d'habilitation n'étaient ou ne sont peut-être pas aussi drastiques à la DRPP qu'ils le sont à la DGSI ou à la DGSE – je reprends ses propres termes. Si je comprends bien, vous ne partagez pas son point de vue.
En outre, j'ai cru comprendre que vous plaidiez pour qu'un système équivalent à celui de la DGSI, soit une inspection indépendante, qui ne reçoit pas d'instruction de la direction, puisse a minima, de manière interne à la DRPP, contrôler les procédures d'habilitation.