Encore une fois, s'agissant du premier point, je maintiens mes propos. Si, au terme d'un travail de plusieurs mois commencé avant que je ne prenne mes fonctions, j'ai été amené à signer ce protocole en février 2019, c'est que j'avais la conviction, qui demeure, que le service chargé des habilitations à la DRPP a acquis un standard similaire à celui de la DGSI. Je maintiens ce point de vue.
Je ne plaide pas forcément en faveur de la création d'une inspection générale. La DRPP est un service rattaché à la police nationale, même s'il fait partie de la préfecture de police, et la police nationale dispose d'une inspection générale, avec une antenne parisienne. Il me semble important de s'assurer que l'activation de ces circuits de contrôle interne soit parfaitement intégrée par l'ensemble des agents.
J'insiste à nouveau sur un point qui me semble fondamental, y compris dans les affaires que traite la DGSI : les signalements doivent pouvoir s'effectuer par tout biais, signalement formel, oral, et dans l'anonymat.