Je prendrai la problématique à l'envers. Vous avez indiqué que des outils avaient été prévus mais que certaines bonnes pratiques n'étaient pas présentes partout. Cela veut dire, a contrario, que de mauvaises pratiques sont présentes quelque part, en tout cas qu'il existe des pratiques qui n'atteignent pas le niveau optimal permettant de les classer dans la bonne catégorie que vous nous indiquez.
Nous souhaiterions savoir ce qu'il s'est passé très précisément à la préfecture de police, puis élargir le spectre pour que nous procédions nous-mêmes à des recommandations sur l'organisation des services de la préfecture de police, les relations qu'elle entretient avec les autres services de renseignement, voire sur son organisation globale.
Quelle est votre lecture sur les outils qui existaient hier et sur ceux d'aujourd'hui à la préfecture de police ?
Vous avez dit que certaines bonnes pratiques ne sont pas présentes partout. Étaient-elles présentes à la préfecture de police par le passé ? Le sont-elles aujourd'hui ou ne le sont-elles toujours pas ?