Comme je vous l'ai dit, elles sont dans le processus d'habilitation. C'est un processus national qu'il faut prendre de façon globale. C'est ce que fait d'ores et déjà le SGDSN.
Ensuite, il faut mieux décrire le processus de remontée des signaux faibles.
Enfin, il se trouve que de l'entretien en présence de l'officier de sécurité et d'un psychologue avait été instauré à la préfecture de police en 2017. Si ce système avait été mis en place plus tôt, ce drame n'aurait peut-être pas eu lieu.