Non, il y avait un stock. Certains cas remontent à assez longtemps. Comme je vous l'ai dit, nous ne sommes pas restés inactifs entre 2015 et 2019. Il existait déjà une procédure, avec un circuit plus court : les cas de radicalisation de personnels de la police étaient traités au niveau du cabinet du préfet de police, lors de réunions impliquant le préfet de police, la DRH et le directeur de cabinet. Le GEC spécialisé n'existait pas, mais ces cas étaient déjà pris en compte.