On sait s'il y a une prise en compte ou non. On entre ensuite dans des questions qui relèvent du renseignement : si on commence à expliquer à tout le monde que telle personne qui s'est présentée à l'accueil fait l'objet d'un suivi de la DGSI, dans le cadre de mesures intrusives, on risque de fragiliser la surveillance. En matière de renseignement, le principe du besoin d'en connaître s'applique. L'information est donc limitée au strict nécessaire : on n'entre pas dans le détail de la prise en charge.