Effectivement, il est difficile de définir les signaux faibles, d'autant, je vous l'ai dit, que ce qui alerte est un faisceau d'indices – un comportement, un repli sur soi, une tenue vestimentaire, une apparence physique soudaine… Encore ce faisceau d'indices ne donne jamais à lui seul un verdict : c'est ce qui doit attirer l'attention et permettre que le renseignement territorial vérifie s'il y a radicalisation ou pas.