Il est vrai que l'on observe au sein de la police nationale un fonctionnement par groupes très soudés. Même si, je le dis une dernière fois, dans les fonctions que j'ai occupées, les signalements me remontaient, y compris de manière orale, il y a eu un « loupé » et ce n'est pas normal. Aussi, tout ce qui améliore la transmission de l'information – qui, en l'espèce, aurait entraîné une enquête sur la pertinence du maintien de l'habilitation et un suivi au titre de la radicalisation – est de bonne pratique, et je n'ai pas d'objection à la proposition que vous formulez.