Dans la région des Pays de la Loire par exemple, des données ont été collectées dans 73 établissements du secteur du nettoyage et ont permis d'identifier environ quinze substances suspectées d'être des perturbateurs endocriniens. Il faut ensuite traiter toutes ces données, ce qui nécessite l'assistance de l'ANSES.
En Auvergne-Rhône-Alpes existe un groupe de travail « perturbateurs endocriniens » qui regroupe la DIRECCTE, la Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail (CARSAT) et la Mutualité sociale agricole (MSA). Il a élaboré différents documents d'information et une liste indicative de perturbateurs endocriniens.
Nous essayons de ne pas nous cantonner à la veille et à l'étude épidémiologique, mais aussi, de prévenir ces risques, « sur le terrain ».